11/03/2012
Une recette de cuisine
4 Octobre 2001
Désert
ADJECTIFS
Immense fourmillement
Sec foison
Chaud luxuriant
Solitaire abondance
NOMS COMMUNS
Marche lunaire musique
Méditation aridité danses
Solitude vierge
Sable
Dunes
NOMS PROPRES
Père de Foucault
Touharegs
Jacques Monod
La Grande ville à l’heure de pointe.
A ce carrefour les gens passent vite , vite prendre le metro , vite prendre sa voiture vite arriver chez soi
Les klaxons résonnent et font avec les bruits à foison de la rue une cacophonie que les gens ne semblent plus entendre ! ce bruit assourdissant est leur quotidien.
Au milieu de ce capharnaüm, il est là, lunaire avec son chien ! Assis sur un carton. Les sons, les bruits n’arrivent pas à ses oreilles, il est dans une bulle .
Il a les paupières baissées, et semble méditer.
Son chien indifférent dort profondément .
Sur le fruit coupé, j’écris et le gouvernement, pas tendre bien qu’ayant le feu béni et les lèvres attentives baille d’ennui !
Le sommeil superficiel et liquide ne permet pas à l’orchestre de jouer avec ses propres mains mais avec « les mains d’Orlac ».
L’assassin est passé dans la matinée, mais madame Pélagie très efficace , en criant la bribe d’un titre l’a fait fuir !
epine Peine
Fumoir fourmi
Olivier voilier
Calvaire cavalier
Quantité :
Trois quart et demi
Une demi livre
Une once
Vingt pour cent
Ingrédients :
Miel de coquelicot
Patate douce
Huile d’amande d’avocat
Titre recettes :
Blé au groseilles
Mousse de dinde au triman
Rouget à la biscarine
Tajine douloureux
Mots : Confire
Brunoise
Décanter
Escaloper
Mirepoix
Wok
La caille pintée.
Prenez un wok joliment décoré
Mettez y un cajun finement ciselé
Laissez décanter 150 centilitre de vin doux
Que vous rajouterez en faisant une halte.
Prenez la caille toute nue.
Badigeonnez la de miel de coquelicot
Déposez la délicatement bien en vue
Faites la mitonner sous le chapiteau.
Laissez la s’abreuver de nectar épaissi
Et s’enrober d’un voile doré
Avant de disposer sur des tranches de pain rassi
Et déguster de façon immodérée
Comment rater…
Vite, vite il est moins dix!
Zut, il pleut, vite mon imper
Ou est mon sac ? Mais je l’ai à la main
Vite vite je cours vers l’arrêt du bus !
Pour le voir partir sous mon nez en
m’aspergeant complètement au passage !
10:53 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)
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