11/03/2012
14 février 2012
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31 janvier 2012
Centon
une phrase : Une dame a lu le livre.la développer.
C’est une personne très féminine, une personne jeune, une femme qui aime rêver en se plongeant dans le monde depeint par des auteurs.
Elle tient précieusement entre ses mains le roman qu’elle vient de terminer . C’est un bouquin relié de jolie toile verte. Elle est rêveuse, encore dans le monde onirique décrit dans le volume vert !
Neige, tigre, cirque, poule, medecin, jeanne.
J’ai toujours aimé le bleu et la mer
Je n’ai pas voulu voir son ressac amer.
Je n’ai plus le pied habile et léger car
Je n’ai jamais eu à danser prés du phare
J’aurai encore aimé être une elfe légère
Aurai-je enfin le temps de réaliser ce rêve ?
Dans la braise il y a la flamme d’un baiser passionné
Dans l’année il y a les jours et les nostalgies qui s’egrainent
Et dans l’azur le mot amour écrit en toutes lettres par un avion de passage
Dans la brume il y a cette teinte belle et mélancolique du peintre.
Dans l’amour il y a l’inefable douceur du touche de ta peau
Et dans le sang toute l’ardeur du toréador prétentieux
Dans la peine il y a deux larmes qui coulent silencieusement
Dans le feu il y a la braise et la flamme flamboyantes de ta colere
Et dans la vie il y a le sourire magnifique de l’enfant
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
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03 janvier reporté au 17 janvier 2012
Nénuphars blêmes, calmes eaux , brumes vague , battant des ailes, rayons blemes
Couché auprès du Ciel, l’atelier qui chante,
l’étoile dans l’azur, neiges monotones , des jets d’eau pleurant, le soleil de mon cœur ,éternité , volupté
Au premier regard cela semble un dessin enfantin, maladroit, un gribouillage !
Mon regard se promène au dessus d’une vague brumes qui donne l’impression de voir un tableau surréaliste illuminé de petits soleils,des jets d’eau pleurants, des traces laissées par des patineurs acrobates !
Mais lorsque le regard s ‘attarde je vois la vie,
Des hommes marchant à grands pas, d’autres calmes, semblant avoir l’éternité devant eux! D’autres encore,
Regardant ciel comme pour apercevoir un oiseau battant des ailes pour aller au-delà de ce lieu vers un rêve lointain !
Enfantin. Vague brume. Soleil. Des jets d’eau pleurants
Eternité. Ciel. Battant des ailes.
Vert,
Vert comme mes grincements de dents lors de contrariétés
Vert comme l’herbe tendre d’Avril
Vert comme la colèrede mon père lorsque je lui ai dis que je partais de la maison !
Noir,
Noir pour la porte de ma pièce secrète
Noir pour apaiser mes yeux fatigués
Noir pour à tâtons chercher tes mains!
Blanc.
Blanc parceque cela devient neige éternelle
Blanc parceque c’est le rire d’un enfants avec ses quenottes naissantes
Blanc parceque c’est la lumière qui transperce le vitrail dans la nef.
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Atelier du 08 novembre reporté au 15 novembre 2011
Si tu aimes le ciel orage , et les épis de blé bleus !
Saches que,
Mon enfant est de ces couleurs !
Les hommes du pays d’à côté
Et les fleurs , aussi !
L’éternelle beauté de l’univers fait
Des pirouettes pour ceux
Qui voudraient comprendre ! et laisse pantois ceux qui ont compris !
Crie seulement parce que tu es toi !
Si tu aimes la rage et la colère !
Mon enfant aime aussi le contraire et laisse toi
Prendre par cette douceur qui engourdi le cœur puis,
Dans un murmure dis lui « je t’aime ».
Si tu aimes l’océan en colère
Ton cheval fougeux et le tonnere qui fait trembler,
Si tu peux dompter tes élans brutaux
alors tu apprécieras le calme de ma maison
Près de la rivière loin de la ville.
Logo-rallye.
Local.penaud.Epagneul.Madeleine.Magnaquerie.Mortellementcrevaison.
C’était un matin d’hiver humide et glacial . Marcel marchait penaud, tel un épagneul mouillé qui n’aurait pas de local pour s’abriter !
Depuis hier il ressassait les même idées noires ! Et la blessure mortelle qu’elle lui avait faite en partant .
Il essayait de se rappeler d’elle comme de la madeleine d’un autre Marcel.
il lui semblait entendre sa vielle mère lui dire :
- arrete avec tes maniaqueries prend plutôt ton vélo et va faire un tour !
- je ne peux pas lui répondrait-il : hier j’ai eu une crevaison et mon velo est nase !
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Une recette de cuisine
4 Octobre 2001
Désert
ADJECTIFS
Immense fourmillement
Sec foison
Chaud luxuriant
Solitaire abondance
NOMS COMMUNS
Marche lunaire musique
Méditation aridité danses
Solitude vierge
Sable
Dunes
NOMS PROPRES
Père de Foucault
Touharegs
Jacques Monod
La Grande ville à l’heure de pointe.
A ce carrefour les gens passent vite , vite prendre le metro , vite prendre sa voiture vite arriver chez soi
Les klaxons résonnent et font avec les bruits à foison de la rue une cacophonie que les gens ne semblent plus entendre ! ce bruit assourdissant est leur quotidien.
Au milieu de ce capharnaüm, il est là, lunaire avec son chien ! Assis sur un carton. Les sons, les bruits n’arrivent pas à ses oreilles, il est dans une bulle .
Il a les paupières baissées, et semble méditer.
Son chien indifférent dort profondément .
Sur le fruit coupé, j’écris et le gouvernement, pas tendre bien qu’ayant le feu béni et les lèvres attentives baille d’ennui !
Le sommeil superficiel et liquide ne permet pas à l’orchestre de jouer avec ses propres mains mais avec « les mains d’Orlac ».
L’assassin est passé dans la matinée, mais madame Pélagie très efficace , en criant la bribe d’un titre l’a fait fuir !
epine Peine
Fumoir fourmi
Olivier voilier
Calvaire cavalier
Quantité :
Trois quart et demi
Une demi livre
Une once
Vingt pour cent
Ingrédients :
Miel de coquelicot
Patate douce
Huile d’amande d’avocat
Titre recettes :
Blé au groseilles
Mousse de dinde au triman
Rouget à la biscarine
Tajine douloureux
Mots : Confire
Brunoise
Décanter
Escaloper
Mirepoix
Wok
La caille pintée.
Prenez un wok joliment décoré
Mettez y un cajun finement ciselé
Laissez décanter 150 centilitre de vin doux
Que vous rajouterez en faisant une halte.
Prenez la caille toute nue.
Badigeonnez la de miel de coquelicot
Déposez la délicatement bien en vue
Faites la mitonner sous le chapiteau.
Laissez la s’abreuver de nectar épaissi
Et s’enrober d’un voile doré
Avant de disposer sur des tranches de pain rassi
Et déguster de façon immodérée
Comment rater…
Vite, vite il est moins dix!
Zut, il pleut, vite mon imper
Ou est mon sac ? Mais je l’ai à la main
Vite vite je cours vers l’arrêt du bus !
Pour le voir partir sous mon nez en
m’aspergeant complètement au passage !
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